Je tiens à présenter les sujets que je vais mettre en avant toutes les semaines. Il s’agira du développement des bâtiments de la ville Refuge. Il va sans dire qu’il risque bien qu’aucun bâtiment n’aura évolué certaines semaines. Il s’agira aussi de l’évolution de la pollution, de la sécurité, du gaspillage et même du niveau de pénurie de certains centres publics de la ville et un certain nombre de commerces indépendants.
Pour les bâtiments, je vais en citer 2 qui ont atteint le niveau maximum, c’est-à-dire le niveau 4 :
- le Complexe Agricole (Publique)
- le Complexe Alchimique (Privé)
Cela semblerait fort petit le nombre de bâtiments de cette taille, mais vu que 6 bâtiments ont atteint le niveau 3 dont un seul est publique, je ne suis pas sur que l’on peut dire que cela est vraiment petit malgré tout…
Pour la pollution, elle dénombre un taux de 1080, cela, je ne vous le cache pas, c’est relativement élevé. Les solutions ont été mises en place par une station d’épuration dont son rendement est loin de l’espoir même de la ville et de la province puisque la pollution est calculée sur la surface provinciale. Il faut savoir qu’une telle pollution pourrait engendrer des maladies graves à la population et ses touristes et comme le nombre d’arbres dans la province n’est pas très élevé, ceux-ci risque fort de disparaître un jour si la situation ne s’améliore pas très rapidement.
Pour la sécurité, on compte sur quelques 35 policiers qui, d’arrache pieds, surveillent notre ville, voir même notre petite province. La sécurité est mise à l’épreuve plusieurs fois par jour par des personnes dont le sens de l’honneur ne compte pas vu que notre ville s’appelle Refuge, et que ce n’est pas pour faire joli que celle-ci porte ce nom. Cette meute de policier est actuellement dirigée par le Commissaire de police Ezka dont la bravoure et son talent de maître laisse misérablement rien passer lors d’une agression ou un vole (délit) si celui-ci est avertis dans un délais relativement court. Sinon, plus le temps passe, plus le Commissaire de police doit étendre son filet, et plus le hors-la-loi a de chance de s’enfuir à bon compte. Donc il est indispensable d’avertir le Commissaire de police le plus rapidement possible. D’ailleurs, il n’est pas rare que notre Commissaire de police aille arrêter un hors-la-loi dans une province voisine.
Pour le gaspillage et pénurie, nous pouvons constater que la mine d’or, en général, une semaine sur deux, n’est pas vidée de son stock provincial, et que jamais nous manquons de bois, ni de pierre. En revanche, le métal et le pétrole manque terriblement à l’appelle de nos citoyens et même des étrangers qui y viennent ce servir en grande quantité. La solution à ce genre de problème est très simple, se servir dans les autres provinces, mais ceci, je l’avoue, n’est pas encore la meilleure solution. Le mieux serait de se faire livrer une grosse quantitée, mais pour cela, la ville n’a pas encore la possibilité de financer ce genre de livraison dont le coût serait énorme et dont le prix de vente risque fort de ne plus intéresser qui que ce soit. Une demande de subside, me direz vous, pour réaliser ce projet est impossible. Il faudra probablement attendre que la ville obtienne un bénéfice hebdomadaire plus important pour, un jour, penser à ce genre de projet, et encore, ce n’est pas certain.
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