Ce sujet portera sur le témoignage d’un soldat Brun de première ligne de frappe en pleine guerre contre la Théocratie Seelienne. Je ne peux hélas pas révéler son identité à des fins personnel de sa part, donc nous le nommerons soldat X.
J’ai débuté ma première question par :
C.G. (Casper Ghost) : Depuis combien de temps êtes vous soldat de carrière ?
Soldat X : Depuis l’âge de mes 18 ans, hors, j’en ai 42. Je n’ai eu guerre le choix, vu que mes parents m’ont jeté à la rue. Je n’avais pas l’âme d’un travailleur et comme je suis un patriote depuis mon plus jeune âge, j’avoue que ma place est ici.
C.G. : Etes-vous heureux ?
Soldat X : Je ne peux me permettre à l’heure actuelle d’avoir des émotions. Je crois que c’est ma plus grande force pour survivre et de pouvoir gérer les événements dont je suis soumis chaque jour.
C.G. : En gros, vous pouvez me raconter cette journée-ci pour avoir une idée de ce dont à quoi vous êtes, justement, soumis chaque jour?
Soldat X : Il y a moins de 4 heures, nous étions sous les feux de l’ennemi, ça venait de partout, et notre seul et unique objectif était de tirer dans le tas. Cela a duré plus ou moins 2 heures.
Ce matin, nous avions reçu l’ordre de nous barricader, donc de se préparer à une éventuelle attaque, enfin, nous savions qu’il allait y avoir de l’action.
Mais chaque jour ne se ressemble pas, comme par exemple hier, nous sommes tombés sur un commando de Ninja, nous avons eu de la chance, car nous avons pu les ninjatomiser.
C.G. : Qu’entendez vous exactement par le terme ninjatomiser, vous avez utilisé la force nucléaire?
Soldat X : Non, absolument pas. Le terme ninjatomiser est une technique redoutable pour repousser une attaque de Ninja. Nous ne faisons que les bombarder de tomates stérilisées. Cela est insupportable pour eux.
Voilà pour ce témoignage, vous pouvez comprendre que je ne puis continuer après la dernière réponse du soldat X. Je suis tombé dans le coma de par le biais d’un fou rire. Je peux donc, désormais, tirer la conclusion que les Ninjas ont du subir la même chose.
C.G.